La contrainte de pluri-lecturabilité a été définie par Thierry Groensteen en 1997 dans Oupus 1. La signification de la planche varie en fonction du sens de lecture des cases. Il peut être linéaire (de gauche à droite, de haut en bas,…), diagonal ou même zigzaguer sur la page comme dans certaines pluri-lecturabilités d’Etienne Lécroart.
C’est une contrainte que j’aime bien et qui est une des plus abordables de l’OuBaPo; un bon exercice pour démarrer… à se prendre la tête 🙂